Voici une version améliorée et rallongée du texte, avec un style plus fluide et détaillé :
Ce matin, nous sommes allés nous réinscrire à France Travail dans l'espoir d'explorer de nouvelles formations et opportunités d'emploi pour envisager un changement de métier. Cependant, notre conseillère a rapidement été confrontée à une limitation absurde du système. Le logiciel, inflexible dans sa conception, refuse catégoriquement d'enregistrer une recherche d'emploi si vous déclarez déjà être en poste. Autrement dit, le message implicite est clair : "Tu n’aimes pas ton boulot ? Tant pis pour toi, reste-y, et surtout, ne cherche pas à te former ou à évoluer."
Face à cette absurdité bureaucratique, notre conseillère a dû contourner le système en déclarant que je n'avais pas d'emploi à l'heure actuelle. Elle m'a rassuré avec un sourire complice en ajoutant : "De toute façon, lors de votre prochain rendez-vous, la personne en face de vous pourra tout remettre correctement." Une situation presque comique, mais surtout révélatrice des failles du système.
Ce genre d’expérience illustre bien les limites des programmes mis en place par l’État. Ils semblent souvent déconnectés des réalités du terrain et des besoins des citoyens. Pourquoi faudrait-il que seule une absence d’emploi ou de diplôme justifie un désir de reconversion ? Est-il inconcevable que quelqu’un en poste veuille évoluer, apprendre, ou changer de voie ?
C’est un peu comme si la logique sous-jacente était figée dans le passé : "Tu as un travail ? Alors tout va bien, continue comme ça. Pourquoi chercher plus loin ?" Pourtant, dans la vraie vie, chacun aspire à évoluer, à se réinventer, à construire un avenir qui lui correspond davantage.
Bref, cette expérience, bien que frustrante, m’a aussi rappelé à quel point il est essentiel de continuer à se battre pour ses ambitions, même face à des systèmes mal adaptés. Après tout, ce n’est pas la première fois, ni probablement la dernière, qu’il faudra "jouer avec les règles" pour avancer dans un monde où les procédures semblent parfois oublier les individus.
Bon plus qu'à attendre les RDV en espérant qu'il mettent 1 ans comme pour les dossiers handicap .
